À l’aube de chaque nouvelle année, les Brésiliens aiment se plier à quelques traditions. Parmi elles : porter du blanc, enjamber sept vagues, manger des lentilles, et… formuler trois voeux d’affilée en sirotant du vin mousseux. Soit l’un de ces fameux espumantes ayant fait la réputation des vignobles locaux, sur la base d’un savoir-faire qui – s’il n’est plus vraiment à prouver du côté du Nouveau Monde – caresse le rêve de se faire un nom jusqu’en Europe et ailleurs. Mais comment relever ce défi majeur dans un pays immanquablement associé aux étoiles du football, à l’onctuosité du café et aux arômes enivrants de la cachaça ? Bien qu’héritier d’une histoire viticole que d’aucuns considèrent comme « trop récente pour être honnête », le Brésil envoie aujourd’hui tous les signaux d’un terroir qui fourbit ses armes. Attisé par l’offensive éclairée d’une jeune génération de vignerons, le marché pourrait même, à l’avenir, ne pas s’y tromper.
À la fin du XIXe siècle, l’Etat brésilien donnait quelques terres à chaque étranger s’installant ici.
Juarez Valduga Casa valduga
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