Benoît Cœuré : «La concurrence n’est pas l’ennemie de la politique industrielle»

Benoît Coeuré, en juillet dernier. ERIC PIERMONT / AFP

ENTRETIEN – Le président de l’Autorité de la Concurrence défend la lutte contre les rentes, «une façon de faire de la croissance qui ne coûte pas au contribuable».

La politique de la concurrence n’est pas passée de mode. «L’ouverture des marchés, la lutte contre les rentes, c’est une façon de faire de la croissance qui ne coûte pas au contribuable», rappelle Benoît Cœuré, le président de l’Autorité de la concurrence (AdlC). L’an dernier, l’AdlC a prononcé treize sanctions, dont six pour abus de position dominante et 5 pour ententes, pour un montant de 467,9 millions d’euros. Un petit millésime de ce point de vue, par rapport à la moyenne de 712,4 millions de ces dix dernières années.

Il n’y a pas de petit cartel mais encore du pain sur la planche. «Plusieurs dossiers sont à l’instruction : le…

Cet article est réservé aux abonnés. Il vous reste 93% à découvrir.

Vous avez envie de lire la suite ?

Débloquez tous les articles immédiatement.

Déjà abonné ? Connectez-vous

voirenimages.net vous produit ce texte qui aborde le thème «  ». Le but de voirenimages.net étant de rassembler en ligne des données sur le sujet de puis les diffuser en essayant de répondre du mieux possible aux interrogations que tout le monde se pose. Cet article se veut reconstitué de la façon la plus correcte que possible. Si jamais vous projetez d’apporter quelques précisions autour du sujet «  », vous avez la possibilité de d’échanger avec notre rédaction. Dans les prochaines heures on rendra accessibles à tout le monde d’autres annonces autour du sujet «  ». Alors, consultez régulièrement notre blog.