La langue française est originaire de Paris où François 1er l’a imposée au reste de la France alors qu’il y avait plusieurs langues pratiquées : Langue d’Oc et Langue d’Oil en plus du latin.
François 1er de l’époque de 1515 qui avait gagné Marignan, n’était pas pape, mais cela pouvait y ressembler.
Il imposait le renouveau de la Renaissance en France en copiant l’Italie qui étaient déjà en route bien avant.
Au xve siècle, la Renaissance s’intensifie en Italie. Les historiens de l’art parlent de Première Renaissance ou Quattrocento puisqu’en italien, au quattrocento, on commence « les années 1400 » et non pas au xve siècle.
Elle remet à l’honneur la littérature,, la philosophie et les arts de l’Antiquité gréco-romaine.
« La langue de chez nous » est une belle chanson de Yves Duteil sur la langue française.
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Parler et chanter en français est une chose.
L’écrire en est une autre plus cauchemardesque.
Putain d’orthographes…
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Le « Bourgeois Gentilhomme » faisait de la prose sans en avoir l’air…
Aujourd’hui, on garde l’orthographe à la pointe de l’épée.
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La ponctuation et la virgule sauvent les meubles d’une phrase.
Faut-il « Défendre une langue ou un dialecte ? » me demandais-je en 2015.
Nos belgicismes valent le détour par leur côté loufoque. On se fait des accroche-pieds, on babele, on donne des cigares, on joue au dikkeneck, on fait de son nez en faisant les stoeffers mais en finale, on tire son plan en zwanzant.
Amin Maalouf répondait à un journaliste : « Il y a un débat. Il y a un problème avec la langue, c’est le problème de la place du masculin et du féminin. C’est un problème qui existe depuis toujours, qui existera encore pour longtemps, et qui a besoin d’être résolu. Certains essaient de le résoudre à travers l’écriture inclusive. L’Académie pense que ce n’est pas la bonne solution, mais on a besoin d’une solution. On a besoin d’en finir avec cette idée du masculin qui l’emporte sur le féminin. C’est une idée qui a fait son temps ».
On parle aujourd’hui de supprimer l’écriture inclusive qui avait été introduite pour correspondre à la vague de #metoo.
Était pour clarifier la situation ou pour la compliquer
?
Je recevais un mail contenant cette remarque écrite par Hélène Pereira :
« La disparition progressive des temps (subjonctif, passé simple, imparfait, formes composées du futur, participe passé, etc) donne lieu à une pensée au présent, limitée à l’instant, incapable de projections dans le temps. La généralisation du tutoiement, la disparition des majuscules et de la ponctuation sont autant de coups mortels portés à la subtilité de l’expression. Supprimer le mot « mademoiselle » est non seulement renoncer à l’esthétique d’un mot, mais également promouvoir l’idée qu’entre une petite fille et une femme il n’y a rien. Moins de mots et moins de verbes conjugués c’est moins de capacités à exprimer les émotions et moins de possibilité d’élaborer une pensée. Des études ont montré qu’une partie de la violence dans la sphère publique et privée provient directement de l’incapacité à mettre des mots sur les émotions. Plus le langage est pauvre, moins la pensée existe. Il n’y a pas de pensée critique sans pensée. Et il n’y a pas de pensée sans mots. Comment construire une pensée hypothético-déductive sans maîtrise du conditionnel ? Comment envisager l’avenir sans conjugaison au futur ? Comment appréhender une temporalité, une succession d’éléments dans le temps, qu’ils soient passés ou à venir, ainsi que leur durée relative, sans une langue qui fait la différence entre ce qui aurait pu être, ce qui a été, ce qui est, ce qui pourrait advenir, et ce qui sera après que ce qui pourrait advenir soit advenu ? Si un cri de ralliement devait se faire entendre aujourd’hui, ce serait celui, adressé aux parents et aux enseignants : faites parler, lire et écrire vos enfants, vos élèves, vos étudiants. Enseignez et pratiquez la langue dans ses formes les plus variées, même si elle semble compliquée, surtout si elle est compliquée. Parce que dans cet effort se trouve la liberté. Ceux qui expliquent à longueur de temps qu’il faut simplifier l’orthographe, purger la langue de ses « défauts », abolir les genres, les temps, les nuances, tout ce qui crée de la complexité sont les fossoyeurs de l’esprit humain. ».
Des paroles incontestables. Plus on a de synonymes dans une langue, mieux on donnera la bonne parole pour exprimer une idée. Le problème n’est pas de les utiliser mais de les écrire. Aujourd’hui, on écrit souvent des histoires du passé en utilisant le présent pour le rendre plus actuel et plus vivant.
Jusqu’au débit du 20ème siècle, le français a toujours été la langue de la diplomatie. Elle était utilisée par les aristocrates et les dirigeants dans la plupart des pays européens jusqu’au moment de la guerre 14-18. L’anglais a dépassé le français en nombre de locuteurs.
Réflexions du Miroir
Furieux, j’ai souvent eu l’envie d’ajouter un pluriel avec le « s » à certains mots qui étaient invariable et vice-versa, à ne pas l’ajouter quand il le fallait.
Ces pluriels sont d’ailleurs non prononcés et passent totalement inaperçu.
D’ailleurs, presque toutes les fins de mots sont muettes à la prononciation.
Mon copain Alain alias Astérix alias Sapanhine, avait suivi une formation littéraire. Pour lui, je ne prenais pas la peine de corriger mes « fôtes d’orthogaffes ». J’ai écrit une piécette de théâtre « Le Chiffre contre la Lettre » pour lui opposer des chiffres à ses lettres. Pas content, qu’il était.
Bernard Fripiat se donnait comme une tâche ardue de trouver l’origine des mots et des expressions avec beaucoup d’humour. Il ne manquait de pester contre les options prises par l’Académie.
Jusqu’en juin 2022, je recevais « ses orthosketchs » hebdomadaires qu je m’empressais d’ajouter à mes billets. Orthogaffe.com désirait les décrire comme une vache espagnole et proposait d’en rire plutôt que d’en pleurer.
Il a dû être emporté par une nouvelle règle d’orthographe dont l’Académie a le secret car les transmissions se sont perdues en chemin.
Remettre à l’honneur les arts de l’Antiquité gréco-latine et trouver l’Académie souvent bousiller ses concepts, ne lui allait pas.
« Puisque de toute façon, nous ne la simplifierons jamais, profitons de l’orthographe pour rire un bon coup. L’orthographe est une épine dans le pied. Ce n’est pas grave, mais pour courir, c’est embêtant ! Enlevons l’épine !« , disait Bernard.
Il se définit dans la pièce de théâtre suivante :
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On peut suivre Bernard sur Facebook avec l’accent circonflexe (Vidéo)
Il a donné une explication à ma question au sujet du mot « délice » par un sketch et au mot « amour ». Deux mots qui changent du sexe masculin au singulier ou au sexe féminin au pluriel.
Je vais tenter une autre explication logique ou sexiste : Je dirais que les délices des amours pour les femmes doivent être des jouissances extrêmes plus singulières que pour les hommes en « stand alone ».
D’accord, beaucoup de mots de la langue française tirent leur origine du latin et du grec.
Vive le correcteur orthographique. S’il n’est pas parfait, il apprend tout le temps pour s’améliorer.
Puis si cela ne suffit pas, il y a le logiciel « Antidote » qui va remettre les dernières couches.
Récemment, je suis tombé sur cet article récent en 3 pages qui remettait les pieds dans le plat.
Pour le résumer : « L’effort d’écrire mérite d’être consacré dans le fond des choses plus importante que d’apprendre des exceptions. L’orthographe est un code. Quand l’outil n’est pas bon, on l’améliore. On peut éprouver une certaine fierté maîtrise de l’orthographe, mais même les plus aguerris souffrent d’insécurité linguistique. Que gagne-t-on à apprendre des règles qui n’ont rien de logiques, ni même étymologiques. Lorsqu’on écrit, notre attention cognitive se dirige vers la correction formelle, au détriment du développement du style, des arguments ou des idées. Il est grand temps de faire évoluer le français comme l’ont été l’espagnol, l’allemand ou le néerlandais. L’orthographe est devenue tout simplement impossible à maîtriser« , dixit des linguistes.
Je n’ai lu que le premier chapitre de ce billet à haute voix, tout calmement et déjà, je rencontrais une foule de mots qu’un non-habitué de la langue française aurait compris oralement mais qui occasionnerait déjà quelques hésitations au moment de l’écrire dans leur contexte avec, en plus, avec la bonne syntaxe.
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« sa veu dir koi kan cé pa soulignai an rouges dan Word ? »
L’orthographe est-elle au service de la météorologie avec le mois d’août et son accent pointu ?
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Des milliers de verbes sont victimes de violences conjugales.
Le correcteur orthographique ne se trompe Jamaïque.
Il faut voir le « cu » du mot « accueil » pour ne plus écrire « acceuil ».
Quand des moyens mnémotechniques sont là pour marquer le pluriel à certains mots en « x » comme « Viens mon chou, mon bijou, sur mes genoux avec tes joujoux, et ne jette pas de cailloux sur ce hibou même s’il est plein de poux !, il y a problème.
Pourquoi n’écririons-nous pas un jour en s’appuyant sur les phonèmes comme le fait « LE SYSTEME PHONOLOGIQUE DU FRANÇAIS » ?
Le système phonologique français est composé de 36 phonèmes 17 sont dits consonantiques ; ils mettent en jeu 20 consonnes de l’alphabet, 16 sont dits vocaliques pour mettre en jeu 6 voyelles de l’alphabet dont 3 sont intermédiaires appelées semi-consonantiques ou semi-vocaliques. Sous cet angle-là, cela ne facilite rien, alors que Phonème /p/ pour père ; Phonème /t/ pour terre ; Phonème /k/ pour cou ; Phonème /b/ pou bon ; Phonème /d/ pour dans. et Phonème /s/ : son, peut y arriver.
– Comment s’écrit « tango« , demande l’inspecteur dans le film « Garde à vue » qui vient de passer sur ARTE.
– Comment voulez-vous que cela s’écrive ? Imbécile, comme pasodoble, Non ?, répond l’accusé.
La parodie est la rubrique que je préfère au risque de faire un petit scandale dans la tête des gens trop coincés aux entournures.
L’invité du 28′ de hier soir était François Rollin qui traque les origines du mal avec l’absurde
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Le cactus de ce lundi avait pour titre « La Belgique, terreau du surréalisme international »
.
L’humour est une ADM, une Arme de Destruction Massive surtout quand elle est administrée dans un miroir
Les Froggies n’aiment pas trop les Rosbeefs…
Alors l’anglais comme langue universelle n’est pas trop leur choix privilégié.
L’esperanto leur donne une autre opportunité comme d’une bouée de secours vu sa facilité d’apprentissage et son manque d’exceptions aux règles d’usage dont ses locuteurs se targuent.
Il y a plus de quinze ans, j’ai étudié les bases de l’espéranto et je ne l’ai jamais utilisé.
Fondée sur une grammaire régulière sans exception, l’espéranto est une langue globalement agglutinante où les mots se combinent pour former un vocabulaire riche et précis à partir d’un nombre limité de racines lexicales et d’affixes qui les combinent pour apporter d’autres mots et d’autres idées.
La question reste : où se trouve la racine au niveau maison ou d’une de ses parties ?
L’idée de l’espéranto par Zamenhof était de réduire les guerres par l’usage d’une langue unique.
Dans une lettre de 1896, il confie à Nikolaï Afrikanovitch Borovko :
« Mon éducation a fait de moi un idéaliste ; on m’a enseigné que tous les hommes sont frères, et pendant ce temps, dans la rue, dans la cour, à chaque pas, tout me faisait sentir que les hommes n’existent pas : il n’existe que des Russes, des Polonais, des Allemands, des Juifs, etc. Cela a toujours tourmenté mon âme d’enfant, encore que beaucoup souriront peut-être de cette « douleur du monde » chez un enfant. Comme il me semblait alors que les « grandes personnes, possédaient la toute-puissance, je me répétais que lorsque je serais grand, je devrais supprimer ce malheur. »
Si l’espéranto n’a pas pu réaliser son rêve, la fréquentation du globish n’y est pas parvenue non plus.
La capitale Bruxelles rassemble 120 langues et l’anglais s’y retrouve partout et la maison de l’Europe en reprend quelques-unes.
Le problème du français ne se trouve pas au niveau des mots mais de leurs accords entre eux.
Savoir cela, permettra-t-il à la langue française de conserver sa cinquième place parmi les locuteurs de la langue dans le monde, sans chuter à d’autres places plus lointaines quand on sait que des langues disparaisses comme je l’écrivais dans « Les langues, un sacré jeu de langue » ?
La langue écrite du français considérée comme trop difficile à l’écrit, ne fait que perdre des locuteurs dans le monde. Heureusement, il y a les Africains qui augmentent les chances du français.
Beaucoup de langues européennes prononcent toutes les lettres.
La neutralité des mots néerlandais trouve une réponse l’article neutre « het » en place de « de » pour les mots masculins ou féminins.
Souvent, quand il s’agit de parler en français, pas de problème pour un étranger, mais pour entamer la conversation par écrit, j’ai été invité à le faire en anglais.
La prononciation de l’anglais est par contre aléatoire en fonction de son interlocuteur. Aux Etats Unis, certains mots ne s’écrivent pas de la même manière (color-coulour…)
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L’origine latine des mots français
Je parlais de Jacques Brel dans « Au diable les convictions et les préjugés »
Le revoici…[embedded content]
Jacques Brel aimait le français mais pas le latin. Il n’a jamais dit s’il aimait son orthographe.
Je me souviens encore de mon dictionnaire latin à la couleur verte que j’ai utilisé pendant 6 ans. Une phrase scandée de Virgile des Bucoliques me revient lancinante en mémoire que je ne peux plus traduire,
Exemple
Sicelides Musae, paulo majora canamus ! |
Muses de la Sicile, haussons un peu la voix ! Les humbles tamaris, les arbrisseaux, les bois Ne sauraient plaire à tous ; ennoblissons nos chants, Muses, et qu’un Consul se plaise à nos accents. |
Cette traduction démontre la concision du latin par rapport au français.
Le latin, on apprenait à scander la poésie et la prose avec des intonations en cadences de la prosodie comme si on envoyait les messages en Morse. Il n’y avait pas seulement des pieds mais on jouait aussi avec les mains. C’était de l’art phonique et phonétique avec toutes les lettres qui se prononçaient.
Wiki dit que le latin est une langue italique de la famille des langues indo-européennes, parlée à l’origine par les Latins dans le Latium de la Rome antique. Le latin, ainsi que les langues romanes néo-latines, sont la seule branche des langues italiques à avoir survécu. Les autres branches sont attestées dans des documents datant de l’Italie préromaine, mais ont été assimilées durant la période républicaine ou au début de l’époque impériale. « Langue morte » sans locuteur natif. Elle a été utilisée jusqu’au xxie siècle à l’université et dans le clergé. De nombreuses écoles secondaires et universités continuent à l’enseigner et reste toujours utilisé pour la production de néologismes dans de nombreuses familles de langues. Langue flexionnelle, elle comporte sept cas, deux nombres et trois genres. Son alphabet est dérivé des alphabets étrusque et grec. Enrichi de lettres supplémentaires et de signes diacritiques, elle comportait à l’époque classique 23 lettres, dont 4 voyelles, 2 semi-voyelles et 17 consonnes ».
A l’époque de mes études secondaires, époque, le cycle d’études humanitaires départageait via la voie latine qui « s’accommodaient » aux Sciences, au Grec, aux Maths ou via la voie considérée comme « moderne » qui skippait le latin.
Pour quelles raisons apprendre les humanités durant la scolarité ?
Est-ce que cela facilite l’écriture et son orthographe « Parce qu’un homme sans mémoire est un homme sans vie, un peuple sans mémoire est un peuple sans avenir. » comme disait le Maréchal Foch.
Ben non. La réponse coule de source. Apprendre les langues anciennes comme le grec ancien et la langue latine est souvent considéré par les parents d’élèves comme un choix d’enseignement secondaire élitiste permettant de rejoindre les rangs des bons élèves et de se parer de commentaires élogieux lors des conseils de classe. Pour les élèves ni hellénistes ni latinistes, les cours de latin figurent parmi les plus inutiles des cours de langue, puisque l’option « latin » était considérée comme l’étude d’une langue morte et désuète, qui ne servirait pas dans le futur. Il est dit que l’étude de la langue gréco-romaine permet d’amorcer une compréhension globale des racines de l’Histoire européenne via l’étude de la civilisation romaine, et de s’initier à la connaissance du monde antique.
Des mots et expressions latins subsistent tels quels en français comme à priori, alinéa, alter ego, amen, bis, bravo, corpus, corum,, desiderata, décorum, Et cetera, gratis, impromptu, incognito, in fine, idem, libido, maximum, minimum, quiproquo, récépissé, recto, summum, ultimatum, verso, visa, etc.
« L’orthographe des mots qui ont une origine latine ou grecque faciliterait mon orthographe, est-il dit.
C’est vrai et faux à la fois.
Je me suis farci le latin dès la 6ème année du cycle humanité jusqu’à la rhéto.
La réforme du collège entrée en vigueur en 2016 a prévu de remplacer l’enseignement des « langues et cultures de l’Antiquité » par des enseignements pratiques interdisciplinaires (EPI). Les enseignants de latin ont craint une marginalisation progressive, puis un délitement durable des connaissances en langues antiques, autrement dénommées « humanités ».
Depuis 1996, cet enseignement a été proposé jusqu’alors, la classe de cinquième en option de langue, à hauteur de deux heures de cours par semaine avec une extension possible jusqu’à la classe de terminale, à raison de trois heures hebdomadaires.
En France, selon un rapport de l’IGEN (l’Inspection générale de l’éducation nationale). Si 40 % des élèves italiens suivaient un enseignement obligatoire de l’alphabet et du vocabulaire latin dans la filière littéraire du lycée, ils étaient 170.000 étudiants français à opter pour l’enseignement des lettres classiques.
Dans la Rome antique, à partir du 3ème siècle avant J-C, le latin classique devint la langue du droit, de l’administration, de l’armée, des colonies romaines et se diffuse à travers tout le bassin méditerranéen. Au 5ème siècle après J-C, après la chute de l’Empire Romain d’Occident, le latin devint la langue maternelle des peuples méditerranéens colonisés, qui a continuée de s’étendre en latin vulgaire comme langues romanes dont la construction grammaticale est proche du portugais, catalan, castillan, occitan, franco-provençal, italien et roumain.
Mais pas pour l’orthographe. Dans ces langues-là, toutes les lettres se prononcent oralement comme on les écrits.
Beaucoup d’autres langues se sont introduites dans la langue française, vice versa d’ailleurs.
L’origine des mots et des expressions à l’italienne
Ainsi, il n’y aura plus de problème pour franchir le Rubicon pour aller au spa avec la fourchette dans la main.
En retournant aux sources en remontant le temps, j’ai été à Rome, en Grèce et en Egypte. Je ne peux pas lire les hiéroglyphes égyptiens, je peux lire le Je peux lire l’alphabet grec mais c’est sans le comprendre. Le grec d’aujourd’hui ne se prononce plus de la même façon.
« Langue française : Etat d’urgence » écrivait Herodote et je lui ai répondu.
18 octobre 2023. La Cité internationale de la langue française devait être inaugurée ce jeudi à Villers-Cotterêts. Notre langue est avec l’école le dernier rempart de notre art de vivre face à la barbarie.
Honorons-la, défendons-la et ne permettons pas qu’elle soit attaquée par des brutes comme par les apologues de la start-up nation… À moins que nous ne préférions le confort de la soumission… (suite)
Pourquoi suivre les règles ?
Pourquoi ne pas en déroger ? Avoir les siennes, comme ce fut le cas pour de grands écrivains comme Montaigne, Rabelais et Molière ?
L’Académie invente des règles pour noyer les idées dans le fond des rêves.
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Mais en dehors de ces 25 règles, je ne suis pas si cela suffira pour écrire sans fôtes à cause de toutes les exceptions ?
Il faudrait peut-être une sérieuse Renaissance de la langue française pour éliminer une foule d’illogismes scripturales.
Je termine avec la philosophie de Matthieu Peletier qui faisait la distinction entre la performance et la robustesse
.
En ce qui me concerne, la performance, c’était avant la retraite. Depuis lors, j’adhère toujours au concept de la robustesse par l’endurance avec la tête et les jambes. Je redonne le temps au temps en cherchant la pédale de frein sur lui : « Juste un coup de frein ».
L’orthographe doit avoir un lien avec un mauvais mélange alchimique ou même chimique des langues indoeuropéennes.
La chimie de ma formation et ses problèmes d’éternité des PFAS font partie de l’actualité. Cela me rappelle les mélanges des produits chimiques entre eux et qui, en finale, donnaient des couleurs différentes dans l’éprouvette alors qu’on ne s’y attendait pas. On y a peut-être ajouté trop d’acide et pas assez de base.
N’y a-t-il pas un amalgame à faire avec l’orthographe ?
L’art prend tellement de formes : littérature, musique, poésie…
La galerie coworkingallery expose à partir du dernier weekend ((Vernissage 18/11)
des dessins de l’artiste John K. Underwood
Dans sa vie, John K. Underwood est passé par bien des occupations ; journaliste, traducteur, interprète de conférence, chanteur classique. Le facteur constant de son existence, depuis sa naissance en 1941 près de Londres, est son besoin de peindre et surtout de dessiner. Le lien cerveau-oeil-main (gauche) fait que depuis l’enfance il produit des œuvres où domine le trait calligraphique et où la spontanéité, pour ne pas dire la rapidité d’exécution, donne lieu au dynamisme et au mouvement. Son travail est exposé pour la première fois lorsqu’à 10 ans, il remporte un prix de la Royal Drawing Society de Londres. Ces dernières années, il a exposé à Bruxelles et ses travaux figurent dans des collections privées en Europe et aux Usa.
Son travail porte sur le paysage, l’illustration, le décor de scène, des azulejos, des « portraits » d’arbres et, peut-être surtout, les nus. Il déclare : « Une valeur essentielle est la tâche d’exprimer la présence du modèle : je ne suis que son interprète. Je suis à son service. Je travaille dans une tradition d’humanisme, la célébration du monde qui nous entoure. Cette tradition remonte à quelque 30.000 ans, aux peintres rupestres des grottes de Lascaux ou d’Altamira. Et à mon avis elle survivra à tous les modernismes et post-modernismes qui passent. C’est le geste cerveau-oeil-main. Il affirme la vie. Il est un combat contre l’entropie. »
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Allusion
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