ANALYSE – Longtemps, le maître du Kremlin s’est cru protégé par le fait que les élites russes détestaient Evguéni Prigojine. Mais Poutine paraît aujourd’hui déstabilisé par le dernier coup de force du chef du groupe Wagner.
Comme un génie qui sort de sa bouteille, le monstre fabriqué par Vladimir Poutine a déchiré les liens qui l’unissaient à son maître et tente aujourd’hui le dévorer. Dans son élan, Evguéni Prigojine, l’ancien prisonnier de droit commun qui fait exécuter les déserteurs en les frappant sur la tête avec une masse, entraîne derrière lui une partie de l’opposition russe, notamment son représentant le plus connu, le démocrate Mikhail Khodorkhovsky.
Depuis son exil en Europe, sur son fil Twitter, après être resté silencieux toute la nuit, l’ancien patron de la compagnie pétrolière Ioukos, qui a passé huit ans de prison dans les geôles de Poutine, a appelé à soutenir le chef de Wagner et sa rébellion armée. « Les Russes antiguerre devraient soutenir Prigojine pour le moment. Il ne fait pas partie de nos alliés, et notre soutien sera temporaire et conditionnel, mais sa démarche porte atteinte à la légitimité de Vladimir Poutine, et tout ce qui fracture le régime est bon ». Interrogés récemment par
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